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Le tourisme, premier acte en vue du regroupement du Très grand Cognac

Début 2017, tous les offices de tourisme devraient fusionner dans le cadre de la loi Notre.

L’office de tourisme de Grande-Champagne sera dissous à la fin de l’année.
L’office de tourisme de Grande-Champagne sera dissous à la fin de l’année.
© Christine Croizet

Le 11 mai dernier, les acteurs du tourisme de Grande-Champagne ont tenu à Lignières-Sonneville leur dernière assemblée générale avant la dissolution de fin d’année. Une page se tourne pour en écrire une nouvelle. Stéphanie Tonon, directrice de l’office de tourisme de Cognac, était là pour le rappeler. Stéphanie Tonon et Chantal Nadeau, sa présidente, maire de Gimeux en charge du tourisme à Grand Cognac n’auront pas attendu de voir se dessiner précisément les contours de la nouvelle grande agglomération pour réunir les troupes émettre en route la fusion des offices des cinq communautés de communes du Pays Ouest Charente*. « Il ne faut pas avoir peur de ce qui va arriver. Tout le monde va être tiré par le haut. Nous réunir va nous rendre plus fort » rassure l’élue évoquant en passant la peur irrationnelle qui avait envahi les petites communes lors de la création des Communautés de Communes. « Nous n’avons pas l’intention de manger qui que ce soit » renchérit Stéphanie Tonon. « Nous entrons dans une année de transition et nous sommes déjà dans la construction commune ». Ce regroupement, Stéphanie Tonon le mène de main de maître, depuis octobre 2014. Pour la première fois, elle avait rassemblé les techniciens de tous les offices, dans une salle pendant 8 heures. « Je voulais proposer aux élus un projet qui émane des techniciens, partager notre vision d’un office de tourisme idéal ». Depuis, une à deux réunions par mois sont associées aux six grandes commissions : du schéma d’accueil à la diffusion de l’information (SADDI), du : numérique à la charte graphique en passant par la boutique et la démarche qualité. Son credo, retrouver le classement de l’office en catégorie 1, perdu de fait par la fusion et une recherche quasi obsessionnelle d’autofinancement. « On remet les compteurs à zéro mais on veut garder l’excellence avec une référence qualité à Cognac ».

Retrouvez la suite de cet article dans La Vie Charentaise du vendredi 17 juin 2016 (page 15).

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