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BNIC : Patrick Raguenaud succède à Jean-Bernard de Larquier

L’élection de Patrick Raguenaud, directeur de Grand Marnier, à la présidence du Bureau national interprofessionnel du cognac (BNIC) n’a été qu’une formalité, mercredi 14 novembre au cours de l’assemblée plénière.

Patrick Raguenaud et Jean-Bernard de Larquier se connaissent depuis longtemps, le premier étant le directeur du site de Marnier Lapostolle à Bourg-Charente ; le second étant le président de la Sica Cognac.
Patrick Raguenaud et Jean-Bernard de Larquier se connaissent depuis longtemps, le premier étant le directeur du site de Marnier Lapostolle à Bourg-Charente ; le second étant le président de la Sica Cognac.
© Fabienne Lebon

C’est Jean-Bernard de Larquier qui s’en est lui-même amusé en annonçant l’élection de son successeur à la tête du BNIC : « Gros suspens… C’est Patrick Raguenaud qui a été élu ce 14 novembre président de l’interprofession du cognac ».

Seul candidat en lice présenté par le Syndicat des maisons de cognac, il sera entouré à la vice-présidence par le viticulteur Christophe Forget, ancien président du SGV puis de l’UGVC. Les chefs de famille de la viticulture et du négoce ne changent pas : Christophe Véral et Philippe Coste. Leurs deux suppléants respectifs sont le viticulteur de Saint-Bonnet-sur-Gironde, Anthony Brun, et le directeur amont d’Hennessy, Florent Morillon.A peine élu, Patrick Raguenaud a fixé sa mission dans la continuité de celle de Jean-Bernard de Larquier.

Les deux hommes se connaissent bien, le premier étant le directeur de Grand Marnier à Bourg-Charente, tandis que le second reste président de la Sica Cognac affiliée à la société. Comme Jean-Bernard de Larquier encore, Patrick Raguenaud a aussi présidé l’interprofession du pineau.

A la tête du BNIC, il cite en priorité le chantier de « réactualisation régulière de ce bel outil qu’est le business plan » avant de placer en seconde position, « le dossier de la viticulture durable, qui permet de former 25 viticulteurs tous les jours (800 au total) ».

De son côté, Christophe Véral promet aussi...

...Retrouvez notre article dans La Vie Charentaise du 16 novembre 2017.

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